Les Artistes

Alice Giuliani – interprète
Artiste chorégraphique italienne, elle est née à Viterbo en 1994.
Elle commence à étudier la danse classique et moderne à l’âge de six ans et elle se forme pendant deux ans à l’école du Balletto di Roma. Ensuite elle se rapproche de la danse contemporaine. Le travail de certains chorégraphes a été marquant dans son parcours artistique : Adriana Borriello, Biagio Caravano (MK), Roberto Castello (Aldes), Antonio Tagliarini, Christine Gérard. Diplômée en disciplines du spectacle à l’Université Roma Tre avec un mémoire sur le travail de la chorégraphe Lucinda Childs, aujourd’hui elle poursuit ses études au Département Danse de l’Université de Paris 8. Elle travaille actuellement en tant que danseuse pour la compagnie Aldes – Roberto Castello, pour la chorégraphe Irene Russolillo. ainsi que pour la compagnie Efi Farmaki Dance Copany (EΦDC).


Elise Roy –  interprète
Elise est danseuse et chorégraphe. Formée à la danse classique depuis ses cinq ans, c’est en venant étudier à Paris les sciences politiques et sociales qu’elle découvre la danse contemporaine. Elle participe à des ateliers avec les chorégraphes Herman Diephuis et Thierry Micouin, suit les cours réguliers du danseur à Micadanses, à la Ménagerie de verre, au CND de Pantin et les stages d’été de l’école P.A.R.T.S à Bruxelles.
A New York, elle étudie la danse et les sciences urbaines à l’université de Columbia, explore la danse contact à Mouvement Research, danse avec le Shen Wei Dance Art et dans la création Cadence for eight de Lance Gries, ancien membre de la Trisha Brown Dance Company.
En juin 2017, elle intègre la Efi Farmaki Dance Company.
Intéressée par la rencontre des différents langages artistiques autour de thématiques politiques et sociétales, elle développe actuellement un travail de création à la rencontre entre la danse et la bande dessinée, en collaboration avec le dessinateur Edmond Baudoin et soutenu par la Fabrique de la Danse (création 2019).
Elise est par ailleurs diplômée de master à l’Ecole d’Affaires Urbaines de Sciences-Po Paris et détient une licence en Arts du spectacle – danse à Paris VIII.


Tiphaine Babin – interprète
Son goût pour les musiques du monde l’a d’abord porté vers la danse orientale classique (sharki), puis les danses traditionnelles du monde arabe (Égypte, Tunisie, Maroc) et le tango argentin. Plus récemment, elle s’est initiée aux danses tziganes des Balkans et de Turquie et aux danses soufies. Elle se nourrit également des pratiques somatiques et des arts internes asiatiques qui, comme les danses traditionnelles, pensent le corps dans sa globalité.
Elle se tourne aujourd’hui vers des formes d’expression plus contemporaines, tout en restant attachée à leurs inspirations traditionnelles et populaires, riches de sens. Pour Tiphaine, la danse est avant tout un moment de rencontre avec son corps, avec soi-même et avec l’autre. Elle recherche alors une forme de simplicité à travers des mouvements organiques et holistiques qui peuvent être partagés et appropriés par tous.
Par ailleurs, les danses du monde arabe et le tango, qui font voyager dans les archétypes du féminin, furent et restent pour elle fondamentales dans sa construction en tant que femme.
Création en cours : Le Chœur, création pour 6 danseuses de la Cie Efi Farmaki et Entre ici et là, création duo – Souffle de danse.


Pauline de Lattre – interprète
Diplômée d’un Monitorat de danse Afro-Américaine basée sur la technique Dunham dispensé par l’école Free Dance Song à Paris, Pauline de Lattre est également immergée dans la culture brésilienne depuis plus de 10 ans, et est initiée aux danses et rythmes traditionnels brésiliens. Elle découvre le Gumboot – danse et percussion corporelle sud-africaine – en 2011. Commence alors un travail de recherche sur l’histoire de cette danse, voyage qui l’emmènera à vivre plusieurs mois en Afrique du Sud et collaborer avec des compagnies à rayonnement international tel que la « Flatfoot Dance Company » ou les « Via Katlehong ».

Elle a créé sa compagnie, Ayoba, et s’inspire des danses populaires sud-africaine en y associant des techniques de danse contemporaine ainsi qu’un regard sur notre société moderne. Collaborations et rencontres sont au coeur du chemin artistique de Pauline, c’est donc tout naturellement qu’elle a intégré la Efi Farmaki Dance Company pour découvrir et partager l’univers particulier de la chorégraphe.


Yaël  Heynderickx – interprète
De mère et de père comédiens, elle vit son enfance bercée par les arts et le spectacle.
L’exploration de toutes sortes de danses comme la danse orientale, brésilienne, le Hip-hop, les danses de salons et traditionnelles lui apportent une approche et une connaissance diversifiées de la danse.
Après son bac option danse à Marseille elle se découvre un intérêt particulier pour l’histoire, la composition et la recherche. Ce qui va la pousser à obtenir une licence Art-Danse à l’université de Nice Sophia-Antipolis.
Aujourd’hui étudiante en Notation du mouvement Benesh au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, elle a travaillé en temps que Notatrice pour une création au Het National Ballet mais aussi en temps que danseuse interpète sur des oeuvres de répertoire comme Le sacre du printemps de Pina Bausch et Set and Reaset de Trisha Brown. Depuis son installation à Paris en 2014, Yaël se concentre, en parallèle de ses études, sur la pratique des danses de couples et des claquettes. Ce qui révèle sa passion pour la relation à l’autre et la présence du rythme dans la danse.


Manon Chaurand – interprète
C’est grâce à son père, lui même danseur, que Manon à découvert l’univers de la danse. Elle a débuté la danse classique à l’âge de 5 ans et a découvert la danse contemporaine par la suite. Formée au CNR de Paris, elle a ensuite suivi la formation professionnelle au centre Rick Odums puis à l’école supérieure de danse de Cannes Rosella Hightower.
En parallele de ses études de danse elle a suivi une formation universitaire de psychologie et de psychomotricité et elle poursuit sa formation en danse-therapie. Elle travaille aujourd’hui en tant que danseuse-interprète à Paris et a son cabinet de psychomotricienne.

Céline Meillaud  – interprète
Comédienne, danseuse, performeuse, Céline danse depuis l’âge de 5 ans. Elle prend d’abord des cours de Modern’Jazz pendant plusieurs années, suis des cours amateurs de hip-hop et de salsa à son adolescence avant d’intégrer l’école professionnelle de théâtre La Scène sur Saône en 2009 à Lyon, où elle découvre la danse contemporaine avec Irénée Panizzi. Depuis elle continue de se former au CND (ateliers portes ouvertes), à Micadanses (training du danseur), au Studio de Paris Carolyn Carlson (avec Jan Fabre en 2016) et chaque année au stage international de DARC avec Larrio Ekson, Martine Harmel, Christopher Huggins et Angelo Monaco.
En 2014 elle découvre le butoh. Une révélation. Elle enchaîne alors les stages et ira jusqu’au Japon rencontrer Natsu Nakajima, danseuse de la 1ère génération. C’est à l’occasion d’un stage de butoh qu’elle fait la connaissance d’Efi Farmaki. Le Choeur est leur seconde collaboration après Bouillon de Vie, un duo de butoh qu’elles créent ensemble en 2016. Si le théâtre tient une place importante dans sa vie, la danse est au coeur de tous ses projets. Elle vient d’intégrer la Cie Crotonix à Trondheim (Norvège) pour le projet Darkmatters et prépare un solo de butoh Father.


Maud Llorente – interprète
Evoluant entre Paris et Montréal, Maud Llorente est artiste en danse et performance.
Elle est diplômée de l’Université Lumière Lyon 2 en Arts du spectacle et certifiée en danse contemporaine du Centre de Formation Danse Désoblique à Oullins. Elle intègre le département de danse de l’Université du Québec à Montréal en 2012 afin d’intégrer les techniques d’éducation somatiques à son bagage en danse. Elle y suit également les enseignements de Danièle Desnoyers, Marie Béland ou encore Kelly Keenan. Maud débute alors une étroite collaboration artistique avec la chorégraphe Kim-Sanh Chaû.
Par ailleurs, elle a eu l’occasion de performer notamment pour Helen Simard (The Trouble with the Twenty-One Realities/ Me, Myself, and Eye, Mouvement Sans/100 Manifeste) et les Sœurs Schmutt (Schmuttland, pour une utopie durable), à Paris pour l’artiste designeuse Fiona du Mesnildot (Domestic Theater) et intègre la Efi Farmaki Dance Company en octobre 2016. Dans sa démarche personnelle Maud est à la fois intéressée en danse par la confrontation entre énergie performative du corps, engagement politique, pop culture et musique live.